- EAN13
- 9782363081421
- ISBN
- 978-2-36308-142-1
- Éditeur
- Arléa
- Date de publication
- 31/08/2017
- Collection
- 1 er mille
- Nombre de pages
- 143
- Dimensions
- 19,1 x 13,2 x 1,4 cm
- Poids
- 192 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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En 1995, un jeune homme, François Munch, disparaît sans motif apparent. Il envoie une carte postale laconique à sa famille, il y annonce son départ définitif. Ses parents, ses frères et soeurs pensent alors à une fugue, une folie passagère. François ne réapparaîtra pas.
En 1995, un jeune homme, François Munch, disparaît sans motif apparent. Il envoie une carte postale laconique à sa famille, il y annonce son départ définitif. Ses parents, ses frères et soeurs pensent alors à une fugue, une folie passagère. François ne réapparaîtra pas. Sans plus de nouvelles du fugitif, la famille se rend au tribunal vingt ans après, délai légal, pour y signer la " déclaration d'absence " en vue de protéger ses intérêts et son patrimoine. Dans la famille Munch, il y a la mère, le père, quatre fils et deux filles. Autant de voix différentes qu'Emmanuelle Grangé nous donne à entendre. Tous sont dévastés par la disparition de François mais chacun habille l'absence comme il peut. Comment vit-on l'absence ? On y survit. On culpabilise, crie, prie, se révolte, se souvient. On revit. Un pas devant l'autre. Il n'y a ni explication ni mode d'emploi.
En 1995, un jeune homme, François Munch, disparaît sans motif apparent. Il envoie une carte postale laconique à sa famille, il y annonce son départ définitif. Ses parents, ses frères et soeurs pensent alors à une fugue, une folie passagère. François ne réapparaîtra pas. Sans plus de nouvelles du fugitif, la famille se rend au tribunal vingt ans après, délai légal, pour y signer la " déclaration d'absence " en vue de protéger ses intérêts et son patrimoine. Dans la famille Munch, il y a la mère, le père, quatre fils et deux filles. Autant de voix différentes qu'Emmanuelle Grangé nous donne à entendre. Tous sont dévastés par la disparition de François mais chacun habille l'absence comme il peut. Comment vit-on l'absence ? On y survit. On culpabilise, crie, prie, se révolte, se souvient. On revit. Un pas devant l'autre. Il n'y a ni explication ni mode d'emploi.
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