Patricia D.

Ellen LEVINE

Des Éléphants

15,00
Conseillé par (Libraire)
1 septembre 2018

Tiré d'une histoire vraie !

Un album à partir de 7 ans qui permet d'ouvrir le dialogue sur l'esclavagisme à travers le destin d'Henry "Box" Brown.
Les illustrations, d'une grande beauté, et d'une douceur indéniable, font prendre vie aux aventures d'Henry. De son enfance jusqu'à son évasion, j'ai suivi les aventures d'Henry avec beaucoup de bienveillance et aussi un petit pincement au cœur.
Un beau récit pour que les enfants d'aujourd'hui n'oublient pas les tragédies des enfants d'hier, et pour que l'Histoire ne reproduise pas les mêmes erreurs.

Superbe.

Conseillé par (Libraire)
1 septembre 2018

Un conte superbement illustré qui véhicule les valeurs de courage, de partage et d'amour.
Amoila relève chaque jour le défi lancé par le grand Calao afin de sauver sa vie et protéger celle de sa mère. Par amour Amoila s'opposera à la tyrannie du grand Calao afin de retrouver sa liberté et de mettre fin à l'oppression de l'oiseau.
Nous pouvons peut-être y voir une allégorie de l'esclavagisme ... A méditer !

De 6 à 8 ans.

Conseillé par (Libraire)
1 septembre 2018

Espagne, janvier 1937. Maria est envoyée par ses parents républicains
loin de Vitoria, la capitale de la province d'Alava, qui est en train de
tomber aux mains des rebelles du général Franco. Elle posera ses valises à Guernica, où elle rencontrera l'amour... et l'horreur de la
guerre.
Tantôt révoltés, convaincus, et ravagés par la haine, nos deux héros survivront tant bien que mal dans cette Espagne qu'ils aiment mais qui
tue ses enfants.
Un beau roman qui s'inspire de témoignages et de faits authentiques
dans le contexte historique de la guerre d'Espagne. On y découvre ou
redécouvre les événements qui ont secoué l'Espagne et l'Europe dans
ces années sombres.
À partir de 12 ans.

1

Monsieur Toussaint Louverture

34,90
Conseillé par (Libraire)
25 août 2018

Moi ce que j'aime , c'est cette BD !

Il faut avant tout que je vous parle d'Emil Ferris, cette femme qui force mon admiration à la fois par son trait extraordinaire mais aussi par son histoire hors du commun ... Elle est née en 1962 à Chicago, illustratrice et mère célibataire elle gagne sa vie en dessinant des jouets et en participant à la production de films d'animation. Lors de la fête de son quarantième anniversaire elle se fait piquer par un moustique qui va lui inoculer une méningo-encéphalite : une des forme les plus graves du syndrome du Nil Occidental. On lui annonce alors qu'elle ne pourra sans doute plus jamais marcher, et pire encore, sa main droite, celle avec laquelle elle dessine, ne peut plus tenir un stylo.
Emil, entourée par ses amis et sa thérapeute décide de se battre contre son corps pour ramener sa plume à la vie. Elle ira jusqu'à scotcher un stylo à sa main pour dessiner.
Il lui aura fallut 6 ans pour écrire son roman graphique « Moi, ce que j'aime, c'est les monstres ». Après 48 refus d'édition, un éditeur indépendant accepte le manuscrit, à mon grand bonheur !

« Moi, ce que j'aime, c'est les monstres » est une œuvre grandiose et envoûtante. Karen, fillette de 10 ans, fascinée par les monstres, créatures effrayantes et sanguinolentes, imagine qu'elle est un loup-garou. Quand sa voisine de toujours, la belle mais mystérieuse Anka est retrouvée morte dans son appartement, la police conclu à un suicide … Mais Karen n'y croit pas une seconde, elle décide alors de mener son enquête.
Dans un univers monstrueusement magnifique Karen évolue à la recherche de la vérité, quitte à déterrer des secrets encore plus monstrueux que les vampires qui peuplent ses comics préférés...

Une œuvre monumentale à côté de laquelle il serait dommage de passer !

Conseillé par (Libraire)
11 août 2018

« Cette fois, c’est la guerre. La guerre des dieux rouges, ces rejetons d’un paternel divin mourant qui vont s’entre-déchirer pour prendre le pouvoir.
Mais il y a des règles : chacun devra se choisir sur terre un champion, qui accomplira une quête avant de rejoindre l’arène finale.
Curieusement, la ou ses adversaires selectionnent des guerriers barbares et autres monstres marins, la déesse des animaux choisit un Poussin bleu pour la représenter dans la bataille a venir.
Du haut de ces 15 jours et de ces 10 cm, celui-ci sent qu'il a toutes ses chances. »

Parodie sagace d’heroic fantasy, ce récit est bien une quête de longue haleine, jouant en permanence sur le décalage, le comique de répétition, l’humour référentiel, et l’effet de surprise, prenant dès que possible à contrepied le lecteur, le tout dans un style au trait épais et cartoonesque, renforcé par des couleurs très tranchées.
Monsieur le chien semble s’amuser comme un petit fou. Et nous aussi.