Monde sans oiseaux, roman

Karin Serres

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  • Conseillé par
    18 août 2014

    fiction

    Voici un monde un peu étrange, ou les enfants apprennent l'anglais et
    l'allemand, sans que jamais nous ne sachions de quel pays il s'agit.

    Nous suivons "Petite Boîte d'os" depuis la naissance jusqu'à sa mort.
    Sa famille, sa vie au village et ses coutumes. Son amour et son enfant,
    puis sa vie professionnelle dans la ville.

    Et le niveau de l'eau du lac qui monte, inexorablement.

    L'espace d'une après-midi, je me suis glissée dans le monde de Petite Boîte,
    pas si différent du notre, par certains côtes. Mais qui nous interroge tout
    de même sur notre société à travers ses divergences.

    L'image que je retiendrai :

    Celle du lac dans lequel sont enterres les villageois.

    http://motamots.canalblog.com/archives/2014/08/18/30357711.html


  • 12 septembre 2013

    Karin Serres nous offre un court récit très étrange qui nous plonge dans un univers onirique inquiétant : non seulement les oiseaux ont disparu, mais des cochons fluorescents nagent dans le lac au fond duquel reposent les cercueils des habitants morts du village. Un récit à l’orée du fantastique qui met en scène la jeune « petite Boîte d’Os », enfant, puis adolescente et enfin adulte, portée par l’amour inconditionnel du vieux Joseph. Un monde dur, difficile, dans lequel les catastrophes sont monnaie courante, comme une allégorie de la vie faite de bonheurs et de vicissitudes.

    Et ?
    Je n’ai pas bien saisi où voulait en venir l’auteur, je n’ai trouvé son récit ni poétique, ni philosophique, et je ne pense pas qu’il m’en restera grand-chose à part cet univers tellement étrange qu’il en devient dérangeant. Un univers auquel je n’ai pas du tout été sensible.