- EAN13
- 9782226235305
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 12/2012
- Collection
- Hors Collection
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 23,80
« 7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son
bureau à l'Elysée. Nouvelle affaire d'Etat.
Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis
trente-cinq ans l'éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de
François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la
corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l'abri des regards.
Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d'inquiétantes
confidences sur les coulisses de l'Etat PS, les réseaux de l'affairisme
politique et les « 40 voleurs... » que le président de la République tolère
autour de lui, encourage parfois, protège toujours.
Conformément à ses voeux, je révèle dans ces pages pourquoi François de
Grossouvre s'est senti trahi par le président. Pourquoi, jusqu'à la fin, il a
porté à son encontre les plus graves accusations.
A la suite de mon précédent livre, Lettre ouverte d'un « chien » à François
Mitterrand au nom de la liberté d'aboyer, j'ouvre ici de nouveaux dossiers.
Ils donnent la clé du système pervers qui, après avoir désespéré le Premier
ministre Pierre Bérégovoy, a fini par tuer François de Grossouvre. »
bureau à l'Elysée. Nouvelle affaire d'Etat.
Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis
trente-cinq ans l'éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de
François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la
corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l'abri des regards.
Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d'inquiétantes
confidences sur les coulisses de l'Etat PS, les réseaux de l'affairisme
politique et les « 40 voleurs... » que le président de la République tolère
autour de lui, encourage parfois, protège toujours.
Conformément à ses voeux, je révèle dans ces pages pourquoi François de
Grossouvre s'est senti trahi par le président. Pourquoi, jusqu'à la fin, il a
porté à son encontre les plus graves accusations.
A la suite de mon précédent livre, Lettre ouverte d'un « chien » à François
Mitterrand au nom de la liberté d'aboyer, j'ouvre ici de nouveaux dossiers.
Ils donnent la clé du système pervers qui, après avoir désespéré le Premier
ministre Pierre Bérégovoy, a fini par tuer François de Grossouvre. »
S'identifier pour envoyer des commentaires.