- EAN13
- 9782246791508
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 11/05/2005
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Grasset 12,90
Au départ, un constat : des trois monothéismes en activité, l'Islam est le
seul qui (culturellement, démographiquement...) fait, chaque jour, de nouveaux
adeptes. D'où les questions : qu'y a-t-il derrière le « désir d'Islam » ? Quel
type de sagesse, de confort, d'espérance, va-t-on y puiser ? Et qu'y a-t-il de
commun entre les individus (intellectuels de haut niveau, ou jeunes habitants
des cités en mal d'identité) qui épousent son crédo ? Ce livre - bref,
brillant, enlevé - tente d'y répondre. Au fil d'une démonstration limpide,
l'auteur observe alors que l'Islam, aujourd'hui, propose d'abord des
certitudes là où les autres monothéismes ne sont paradoxalement que des
pédagogies du doute. Il note également - à travers les itinéraires d'individus
aussi différents que Lawrence d'Arabie, Louis Massignon, Roger Garaudy, Jean
Genet ou Michel Foucault - que l'Islam est, aussi, une « matrice nourricière
et maternelle » qui procure un sentiment d'imersion, d'appartenance, qui fait
tragiquement défaut aux sociétés démocratiques et « désenchantées ». De façon
plus polémique, plus allusive, Martine Gozlan s'interroge également sur les
rapports entre l'Islam et l'homosexualité - perçue, ici, comme un lieu
primordial avec le pouvoir des mères et l'effroi devant la sexualité féminine.
seul qui (culturellement, démographiquement...) fait, chaque jour, de nouveaux
adeptes. D'où les questions : qu'y a-t-il derrière le « désir d'Islam » ? Quel
type de sagesse, de confort, d'espérance, va-t-on y puiser ? Et qu'y a-t-il de
commun entre les individus (intellectuels de haut niveau, ou jeunes habitants
des cités en mal d'identité) qui épousent son crédo ? Ce livre - bref,
brillant, enlevé - tente d'y répondre. Au fil d'une démonstration limpide,
l'auteur observe alors que l'Islam, aujourd'hui, propose d'abord des
certitudes là où les autres monothéismes ne sont paradoxalement que des
pédagogies du doute. Il note également - à travers les itinéraires d'individus
aussi différents que Lawrence d'Arabie, Louis Massignon, Roger Garaudy, Jean
Genet ou Michel Foucault - que l'Islam est, aussi, une « matrice nourricière
et maternelle » qui procure un sentiment d'imersion, d'appartenance, qui fait
tragiquement défaut aux sociétés démocratiques et « désenchantées ». De façon
plus polémique, plus allusive, Martine Gozlan s'interroge également sur les
rapports entre l'Islam et l'homosexualité - perçue, ici, comme un lieu
primordial avec le pouvoir des mères et l'effroi devant la sexualité féminine.
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