Gabriel nous livre sa on enfance au Burundi entre douceur et fracas, complicité et abandon, lumière et ténèbres, liberté et torture... Un roman de contrastes sincère et captivant. Il vous prend aux tripes et ne peut vous laisser indifférent.
Pour faire écho à ce premier roman, écoutez sa chanson "Petit Pays" elle trottera longtemps dans votre tête.

L'amour mène Kurogiku maître japonais de l'art du Washi en Toscane. Une rencontre inattendu avec un horloger va bouleverser sa vie.
Ce roman se lit comme un immense haiku et nous permet appréhender l'art ancestral du papier et de l'origami. Et si les lignes des plis du papier pouvaient raconter l'histoire de l'humanité ?

Un homme, une femme : une rencontre. Jusque là rien de bien extraordinaire. C'est sans compter sur le charme et le talent d'Olivier Liron qui nous livre une étrange et singulière histoire d'amour qui nous plonge dans l'univers du cirque et nous fait voyager entre Paris, la Normandie et Cuba.

Dès le début j'ai été happé par la tension et l'intensité dramatique du roman. Une magnifique évocation de l'exil et du déracinement. Les Etats-Unis sont-ils réellement l'éden que recherche les personnage d'Imbolo Mbue ?
Ce texte a créé la surprise lors de la foire de Bologne et mon petit doigt me dit qu'il sera une des grandes surprises de cette rentrée littéraire.

Lors d'un atelier d'écriture, Suzanne demande à ses élèves de choisir un objet témoin de leur passé ou d'un moment particulier. Arsène, jeune orphelin Rwandais choisit une valise en cuir qui se révèle être le dernier lien qui l'unit à son pays, à ses racines. Il ne peut exprimer son histoire par les mots, en tout cas par SES mots alors Suzanne va mettre en abîme ses paroles qui font faire écho à son propre passé.
Yasmine Ghata livre un roman d'une extrême pureté sur le génocide Rwandais.
A lire aussi du même auteur : La nuit des calligraphes aux éditions Livre de Poche.